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Poor Mother
Une petite fille tombe d’une fenêtre et s’écrase sur le pavé. La mère, abrutie de douleur, seule désormais, conduit l’enfant au cimetière.Un an après. L’intérieur est toujours le même, avec le portrait de la fillette accroché au mur, ses jouets sur une table tels qu’elle les a laissés et l’?me de la chère petite morte flotte légère. La mère, une bouteille dans une main, un verre dans l’autre, regarde avec des yeux hallucinés, des yeux fous. Peu à peu, dans les vapeurs de l’ivresse, l’enfant para?t, se glisse dans les bras de sa mère. Mais la chère vision s’efface à mesure que l’ivresse se dissipe. Et la mère boit, boit toujours, oubliant dans l’anéantissement de ses facultés toute la douleur de vivre. Dans un jardin public où jouent des en - fants de riches, ses yeux croient reconna?tre le sien. Elle l’étreint, elle l’enlace. Brutalement repoussée par des agents, elle tombe sans connaissance et va mourir dans un lit d’h?pital.
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(法)贝洛:睡美人[童话故事]
來源:考试大&&日&&&【考试大:我的学习乐园,我的栲试专家】
Il était une fois un Roi et une Reine, qui étaient si fachés de n'avoir point d'enfants, si fachés qu'on ne saurait dire. Ils allèrent à tout voeux, pèlerinages, menues dévotions, tout fut mis en oeuvre, et rien n'y faisait. Enfin pourtant la Reine devint grosse, et accoucha d'une fille: on fit un beau Baptê on donna pour Marraines à la petite Princesse toutes les Fées qu'on p?t trouver dans le Pays (il s'en trouva sept), afin que chacune d'elles lui faisant un don, comme c'était la coutume des Fées en ce temps-là, la Princesse e?t par ce moyen toutes les perfections imaginables. Après les cérémonies du Baptême toute la compagnie revint au Palais du Roi, où il y avait un grand festin pour les Fées. On mit devant chacune d'elles un couvert magnifique, avec un étui d'or massif, où il y avait une cuiller, une fourchette, et un couteau de fin or, garni de diamants et de rubis. Mais comme chacun prenait sa place à table, on vit entrer une vieille Fée qu'on n'avait point priée parce qu'il y avait plus de cinquante ans qu'elle n'était sortie d'une Tour et qu'on la croyait morte, ou enchantée. Le Roi lui fit donner un couvert, mais il n'y eut pas moyen de lui donner un étui d'or massif, comme aux autres, parce que l'on n'en avait fait faire que sept pour les sept Fées. La vieille crut qu'on la méprisait, et grommela quelques menaces entre ses dents. Une des jeunes Fées qui se trouva auprès d'elle l'entendit, et jugeant qu'elle pourrait donner quelque facheux don à la petite Princesse, alla dès qu'on fut sorti de table se cacher derrière la tapisserie, afin de parler la dernière, et de pouvoir réparer autant qu'il lui serait possible le mal que la vieille aurait fait. Cependant les Fées commencèrent à faire leurs dons à la Princesse. La plus jeune lui donna pour don qu'elle serait la plus belle personne du monde, celle d'après qu'elle aurait de l'esprit comme un Ange, la troisième qu'elle aurait une grace admirable à tout ce qu'elle ferait, la quatrième qu'elle danserait parfaitement bien, la cinquième qu'elle chanterait comme un Rossignol, et la sixième qu'elle jouerait de toutes sortes d'instruments dans la dernière perfection. Le rang de la vieille Fée étant venu, elle dit, en branlant la tête encore plus de dépit que de vieillesse, que la Princesse se percerait la main d'un fuseau, et qu'elle en mourrait. Ce terrible don fit frémir toute la compagnie, et il n'y e?t personne qui ne pleurat. Dans ce moment la jeune Fée sortit de derrière la tapisserie, et dit tout haut ces paroles: "Rassurez-vous, Roi et Reine, votre fille n' il est vrai que je n'ai pas assez de puissance pour défaire entièrement ce que mon ancienne a fait. La Princesse se percera la main d' mais au lieu d'en mourir, elle tombera seulement dans un profond sommeil qui durera cent ans, au bout desquels le fils d'un Roi viendra la réveiller." Le Roi, pour tacher d'éviter le malheur annoncé par la vieille, fit publier aussit?t un Edit, par lequel il défendait à toutes personnes de filer au fuseau, ni d'avoir des fuseaux chez soi sur peine de la vie. Au bout de quinze ou seize ans, le Roi et la Reine étant allés à une de leurs Maisons de plaisance, il arriva que la jeune Princesse courant un jour dans le Chateau, et montant de chambre en chambre, alla jusqu'au haut d'un donjon dans un petit galetas, où une bonne Vieille était seule à filer sa quenouille. Cette bonne femme n'avait point oui parler des défenses que le Roi avait faites de filer au fuseau. "Que faites-vous là, ma bonne femme? dit la Princesse. - Je file, ma belle enfant, lui répondit la vieille qui ne la connaissait pas. - Ah! que cela est joli, reprit la Princesse, comment faites-vous? donnez-moi que je voie si j'en ferais bien autant." Elle n'eut pas plus t?t pris le fuseau, que comme elle était fort vive, un peu étourdie, et que d'ailleurs l'Arrêt des Fées l'ordonnait ainsi, elle s'en per?a la main, et tomba évanouie. La bonne vieille, bien embarrassée, crie au secours: on vient de tous c?tés, on jette de l'eau au visage de la Princesse, on la délace, on lui frappe dans les mains, on lui frotte les temples avec de l'eau de la Reine de H mais rien ne la faisait revenir. Alors le Roi, qui était monté au bruit, se souvint de la prédiction des Fées, et jugeant bien qu'il fallait que cela arrivat, puisque les Fées l'avaient dit, fit mettre la Princesse dans le plus bel appartement du Palais, sur un lit en broderie d'or et d'argent. On e?t dit d'un Ange, tant elle é car son évanouissement n'avait pas ?té les couleurs vives de son teint: ses joues étaient incarnates, et ses lè elle avait seulement les yeux fermés, mais on l'entendait respirer doucement, ce qui faisait voir qu'elle n'était pas morte. Le Roi ordonna qu'on la laissat dormir en repos, jusqu'à ce que son heure de se réveiller f?t venue. La bonne Fée qui lui avait sauvé la vie, en la condamnant à dormir cent ans, était dans le Royaume de Mataquin, à douze mille lieues de là, lorsque l'accident arriva à la P mais elle en fut avertie en un instant par un petit Nain, qui avait des bottes de sept lieues (c'était des bottes avec lesquelles on faisait sept lieues d'une seule enjambée). La Fée partit aussit?t, et on la vit au bout d'une heure arriver dans un chariot tout de feu, tra?né par des dragons. Le Roi lui alla présenter la main à la descente du chariot. Elle approuva tout ce qu' mais comme elle était grandement prévoyante, elle pensa que quand la Princesse viendrait à se réveiller, elle serait bien embarrassée toute seule dans ce vieux Chateau: voici ce qu'elle fit. Elle toucha de sa baguette tout ce qui était dans ce Chateau (hors le Roi et la Reine), Gouvernantes, Filles d'Honneur, Femmes de Chambre, Gentilshommes, Officier, Ma?tres d'H?tel, Cuisiniers, Marmitons, Galopins, Gardes, Suisses, Pages, V elle toucha aussi tous les chevaux qui étaient dans les Ecuries, avec les Palefreniers, les gros matins de basse-cour, de la petite Pouffe, petite chienne de la Princesse, qui était auprès d'elle sur son lit. Dès qu'elle les eut touchés, ils s'endormirent tous, pour ne se réveiller qu'en même temps que leur Ma?tresse, afin d'être tout prêts à le servir quand e les broches mêmes qui étaient au feu toutes pleines de perdrix et de faisans s'endormirent, et le feu aussi. Tout cela les Fées n'étaient pas longues à leur besogne. Alors le Roi et la Reine, après avoir baisé leur chère enfant sans qu'elle s'éveillat, sortirent du Chateau, et firent publier des défenses à qui que ce soit d'en approcher. Ces défenses n'étaient pas nécessaires, car il cr?t dans un quart d'heure tout autour du parc une si grande quantité de grands arbres et de petits, de ronces et d'épines entrelacées les unes dans les autres, que bête ni homme n'y aurait pu passer: en sorte qu'on ne voyait plus que le haut des Tours du Chateau, encore n'était-ce que de bien loin. On ne douta point que la Fée n'e?t encore fait là un tour de son métier, afin que la Princesse, pendant qu'elle dormirait, n'e?t rien à craindre des Curieux.
Au bout de cent ans, le Fils du Roi qui régnait alors, et qui était d'une autre famille que la Princesse endormie, étant allé à la chasse de ce c?té-là, demanda ce que c'était que des Tours qu'il voyait au-dessus d'un grand bois fort é chacun lui répondit selon qu'il en avait ou? parler. Les uns disaient que c'était un vieux Chateau où il revenait des E les autres que tous les Sorciers de la contrée y faisaient leur sabbat. La plus commune opinion était qu'un Ogre y demeurait, et que là il emportait tous les enfants qu'il pouvait attraper, pour les pouvoir manger à son aise, et sans qu'on le p?t suivre, ayant seul le pouvoir de se faire un passage au travers du bois. Le Prince ne savait qu'en croire, lorsqu'un vieux Paysan prit la parole, et lui dit: "Mon Prince, il y a plus de cinquante ans que j'ai ou? dire à mon père qu'il y avait dans ce Chateau une Princesse, la qu'elle y devait dormir cent ans, et qu'elle serait réveillée par le fils d'un Roi, à qui elle était réservée." Le jeune Prince, à ce discours, s il crut sans balancer qu'il mettrait fin à
et poussé par l'amour et par la gloire, il résolut de voir sur-le-champ ce qui en était. A peine s'avan?a-t-il vers le bois, que tous ces grands arbres, ces ronces et ces épines s'écartèrent d'elles-mêmes pour le laisser passer: il marche vers le Chateau qu'il voyait au bout d'une grande avenue où il entra, et ce qui le surprit un peu, il vit que personne de ses gens ne l'avait pu suivre, parce que les arbres s'étaient rapprochés dès qu'il avait été passé. Il ne laissa pas de continuer son chemin: un Prince jeune et amoureux est toujours vaillant. Il entra dans une grande avant-cour où tout ce qu'il vit d'abord était capable de le glacer de crainte: c'était un silence affreux, l'image de la mort s'y présentait partout, et ce n'était que des corps étendus d'hommes et d'animaux, qui paraissaient morts. Il reconnut pourtant bien au nez bourgeonné et à la face vermeille des Suisses, qu'ils n'étaient qu'endormis, et leurs tasses où il y avait encore quelques gouttes de vin montraient assez qu'ils s'étaient endormis en buvant. Il passe une grande cour pavée de marbre, il monte l'escalier, il entre dans la salle des Gardes qui étaient rangés en haie, la carabine sur l'épaule, et ronflants de leur mieux. Il traverse plusieurs chambres pleines de Gentilshommes et de Dames, dormants tous, les uns debout, il entre dans une chambre toute dorée, et il vit sur un lit, dont les rideaux étaient ouverts de tous c?tés, le plus beau spectacle qu'il e?t jamais vu: une Princesse qui paraissait avoir quinze ou seize ans, et dont l'éclat resplendissant avait quelque chose de lumineux et de divin. Il s'approcha en tremblant et en admirant, et se mit à genoux auprès d'elle. Alors comme la fin de l'enchantement était venue, la Princesse s'é et le regardant avec des yeux plus tendres qu'une première vue ne semblait le permettre: "Est-ce vous, mon Prince? lui dit-elle, vous vous êtes bien fait attendre." Le Prince charmé de ces paroles, et plus encore de la manière dont elles étaient dites, ne savait comment lui témoigner sa joie
il l'assura qu'il l'aimait plus que lui-même. Ses discours furent mal rangés, ils
peu d'éloquence, beaucoup d'amour. Il était plus embarrassé qu'elle, et l'on ne doit pas s'en é elle avait eu le temps de songer à ce qu'elle aurait à lui dire, car il y a apparence (l'Histoire n'en dit pourtant rien) que la bonne Fée, pendant un si long sommeil, lui avait procuré le plaisir des songes agréables. Enfin il y avait quatre heures qu'ils se parlaient, et ils ne s'étaient pas encore dit la moitié des choses qu'ils avaient à se dire.
Cependant tout le Palais s'était réveillé avec la P chacun songeait à faire sa charge, et comme ils n'étaient pas tous amoureux, i la Dame d'honneur, pressée comme les autres, s'impatienta, et dit tout haut à la Princesse que la viande était servie. Le Prince aida à la Princesse à elle était tout habillée et mais il se garda bien de lui dire qu'elle était habillée comme ma mère-grand, et qu'elle avait un collet monté; elle n'en était pas moins belle. Ils passèrent dans un Salon de miroirs, et y soupèrent, servis par les Officiers de la P les Violons et les Hautbois jouèrent de vieilles pièces, mais excellentes, quoiqu'il y e?t près de cent ans qu' et après soupé, sans perdre de temps, le grand Aum?nier les maria dans la Chapelle du Chateau, et la Dame d'honneur leur tira le rideau: ils dormirent peu, la Princesse n'en avait pas grand besoin, et le Prince la quitta dès le matin pour retourner à la Ville, où son Père devait être en peine de lui. Le Prince lui dit qu'en chassant il s'était perdu dans la forêt, et qu'il avait couché dans la hutte d'un Charbonnier, qui lui avait fait manger du pain noir et du fromage. Le Roi son père, qui était bon homme, le crut, mais sa Mère n'en fut pas bien persuadée, et voyant qu'il allait presque tous les jours à la chasse, et qu'il avait toujours une raison en main pour s'excuser, quand il avait couché deux ou trois nuits dehors, elle ne douta plus qu'il n'e?t quelque amourette: car il vécut avec la Princesse plus de deux ans entiers, et en eut deux enfants, dont le premier, qui fut une fille, fut nommée l'Aurore, et le second un fils, qu'on nomma le Jour, parce qu'il paraissait encore plus beau que sa soeur. La Reine dit plusieurs fois à son fils, pour le faire expliquer, qu'il fallait se contenter dans la vie, mais il n'osa jamais se fier à il la craignait quoiqu'il l'aimat, car elle était de race Ogresse, et le Roi ne l'avait épousée qu'à cause on disait même tout bas à la Cour qu'elle avait les inclinations des Ogres, et qu'en voyant passer de petits enfants, elle avait toutes les peines du monde à se retenir ainsi le Prince ne voulut jamais rien dire. Mais quand le Roi fut mort, ce qui arriva au bout de deux ans, et qu'il se vit le ma?tre, il déclara publiquement son Mariage, et alla en grande cérémonie quérir la Reine sa femme dans son Chateau. On lui fit une entrée magnifique dans la Ville Capitale, où elle entra au milieu de ses deux enfants. Quelque temps après le Roi alla faire la guerre à l'Empereur Cantalabutte son voisin. Il laissa la Régence du Royaume à la Reine sa mère, et lui recommanda fort sa femme et ses enfants: il devait être à la guerre tout l'Eté, et dès qu'il fut parti, la Reine-Mère envoya sa Bru et ses enfants à une maison de campagne dans les bois, pour pouvoir plus aisément assouvir son horrible envie. Elle y alla quelques jours après, et dit un soir à son Ma?tre d'H?tel: "Je veux manger demain à mon d?ner la petite Aurore. - Ah! Madame, dit le Ma?tre d'H?tel. - Je le veux, dit la Reine (et elle le dit d'un ton d'Ogresse qui a envie de manger de la chair fra?che), et je la veux manger à la Sauce-robert." Ce pauvre homme voyant bien qu'il ne fallait pas se jouer à une Ogresse, prit son grand couteau, et monta à la chambre de la petite Aurore: elle avait pour lors quatre ans, et vint en sautant et en riant se jeter à son col, et lui demander du bonbon. Il se mit à pleurer, le couteau lui tomba des mains, et il alla dans la basse-cour couper la gorge à un petit agneau, et lui fit une si bonne sauce que sa Ma?tresse l'assura qu'elle n'avait jamais rien mangé de si bon. Il avait emporté en même temps la petite Aurore, et l'avait donnée à sa femme pour la cacher dans le logement qu'elle avait au fond de la basse-cour. Huit jours après la méchante Reine dit à son Ma?tre d'H?tel: "Je veux manger à mon souper le petit Jour." Il ne répliqua pas, résolu de la tromper comme l' il alla chercher le petit Jour, et le trouva avec un petit fleuret à la main, dont il faisait des armes avec un gros S il n'avait pourtant que trois ans. Il le porta à sa femme qui le cacha avec la petite Aurore, et donna à la place du petit Jour un petit chevreau fort tendre, que l'Ogresse trouva admirablement bon.
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