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Wilhelm von Humboldt
Friedrich Wilhelm Christian Karl Ferdinand Freiherr von Humboldt, plus connu sous le nom Wilhelm von Humboldt (en fran?ais, Guillaume de Humboldt), né à
et mort à
le , est un philosophe prussien, fonctionnaire d'?tat (en tant que diplomate et ministre de l'éducation). Il est le fondateur de l' qui porte son nom depuis 1949 (ainsi que celui de son frère, le naturaliste et géographe ).
Sa renommée est forte en tant que , pour ses importantes contributions à la philosophie du langage mais aussi pour avoir contribué à la théorie et à la pratique de l'. Il est – en particulier – reconnu comme l'architecte principal du système prussien d'éducation qui a fortement inspiré les systèmes d'éducation de pays comme les
Après des études scientifiques, ainsi que de
et de , il re?oit une introduction à la
et à l'administration. Il étudie durant trois semestres la
et les sciences à l' avec
et lit , dont la première des trois critiques, la
inspire sa pensée grammaticale, la deuxième et la troisième son anthropologie et son esthétique. Humboldt est l'ami de
et surtout de  : ces deux poètes lui inspirent des réflexions esthétiques souvent novatrices.
Il écrit en 1791-2 ? propos des limites de l'action de l'?tat, ouvrage qui ne sera publié qu'en 1850 (après sa mort) et constitue l'un des plus beaux plaidoyers en faveur des libertés des . Il influence l'essai ? propos de la Liberté de , gr?ce auquel les idées d'Humboldt pénètrent le monde britannique.
Humboldt est l'inventeur de
qui relèvent de thèmes aujourd'hui réputés appartenir aux domaines des
. C'est ce qui a conduit paradoxalement à négliger sa pensée propre . Aussi, l'a-t-on volontiers réduit au r?le de simple précurseur de la pensée contemporaine, qu'il s'agisse de celle de , de , d', d' ou encore de
. Plus récemment (2006), le Fran?ais
a rapproché Humboldt de Bergson, tout en affirmant que Humboldt serait resté prisonnier, contrairement à , de la
et d'. Il faut également noter la dimension libérale de sa pensée politique et de sa philosophie de l'histoire .
En tant que ministre prussien de l'éducation, il supervise le système des <> et des <>. Ses Plans de réforme de l'école prussienne ne sont publiés que bien après sa mort conjointement à un fragment de son traité sur la <> écrit aux alentours de 1793. Humboldt y affirme&#160;: <<&#160;la t?che ultime de notre existence est d'accorder la plus grande place au concept d'humanité dans notre propre personne (…) à travers l'impact de nos actions dans nos vies&#160;>>. T?che qui peut <<&#160;s'établir uniquement par les liens établis entre nous en tant qu'individus, et par ceux qui nous lient avec le monde qui nous entoure &#160;>>. Il insiste sur le fait que <<&#160;l'éducation individuelle ne peut continuer que dans le contexte plus large du développement du monde &#160;>>. En d'autres termes&#160;: L'individu n'a pas seulement le droit, mais aussi le devoir de participer au développement du monde qui l'entoure.
Son idéal d'éducation est fortement imprégné de considérations sociales. Il n'a jamais cru que <<&#160;la race humaine puisse atteindre une quelconque perfection générale, con?ue en termes abstraits&#160;>>. Il note dans son Journal en 1789 que <<&#160;L'éducation de l'individu suppose son incorporation dans la société et mobilise largement ses liens avec celle-ci >>.
Dans sa <> il examine les <<&#160;demandes qui s'adressent à la Nation et à une ?poque de la race humaine&#160;>>. La vérité et la vertu de l'éducation doivent être propagées de fa?on à ce que le concept d'humanité se concrétise de manière ample et digne chez chaque individu .
Pour autant, cela doit être entrepris par chaque individu qui doit <<&#160;absorber une grande quantité d'éléments qui lui sont présentés par le monde qui l'entoure, ainsi que par son existence propre, en utilisant toutes ses facultés de réception . Qu'il doit ensuite retraiter avec toute l'énergie dont il peut faire preuve, et se les approprier de fa?on à établir une interaction entre lui-même et la nature selon la forme la plus large, la plus active et la plus harmonieuse &#160;>>.
En tant que ministre prussien de l'?ducation (), il réforme profondément le système scolaire, en se basant sur les idées de
— il envoie les professeurs prussiens étudier ses méthodes en .
Humboldt fonde en
à Berlin, l'Alma Mater Berolinensis,
— ce qui en fait un visionnaire en matière de recherche et de pédagogie, capable de comprendre pourquoi il est nécessaire de confronter les disciplines pour faire avancer le savoir sans préjugés. L'Université ne reflète pas un système philosophique, mais est fondée sur la libre recherche et collaboration des étudiants et des professeurs .
? partir de 1802, Humboldt est diplomate ( Ministre prussien plénipotentiaire) à Rome, puis Ambassadeur à Vienne (1812) et participant au Congrès de Prague en 1813. Représentant de la
au , il défend contre la France vaincue une ligne assez dure. Avec , il a une action déterminante au sein du gouvernement jusqu'en , quand il finit par prendre sa retraite en raison de son opposition aux idées réactionnaires qui prédominaient. Il se consacre alors essentiellement à l'étude du langage. Cela lui vaut les moqueries d'un autre écrivain diplomate, . Il est élu associé étranger de l' en .
Lucien Tesnière lui-même considérait Humboldt comme "un linguiste de grande classe, aux intuitions de génie". (?léments de syntaxe structurale, Livre A, Chapitre II)
Malgré cette carrière de serviteur de l'?tat, contrairement aux autres philosophes de l'histoire de son temps, Humboldt considère toute sa vie que la culture de soi, la , est plus essentielle que le service de l'?tat. L'individu n'est pas réductible à son r?le sur la scène de l'histoire. C'est ce
singulier, rien moins qu'économique, qui conduit Humboldt à s'intéresser à la philosophie politique, à l', à la philosophie de l'histoire, mais aussi à la religion, dans une perspective moins chrétienne que , voire
(commentaire de la ). La puissance créatrice qui constitue le fond de l'univers culturel et anthropologique se manifeste aussi bien dans les réalités individuelles que collectives. Si Humboldt rejette toute philosophie systématique, s'il s'intéresse à des domaines variés, de la sexualité à l'histoire en passant par la religion, sa pensée n'en est pas moins profondément cohérente&#160;: en tout cas, cohérente en profondeur.
De 1797 à 1799, Humboldt vit à Paris, où il mesure le fossé entre la philosophie kantienne et la philosophie fran?aise des Idéologues. Les Idéologues pensaient bien la différence des langues, mais dans un contexte mental bien trop empiriste ou sensualiste.
? la fin de son séjour parisien, il voyage en Espagne et surtout au . Il découvre ainsi la langue et la culture . C'est pour lui l'occasion de mettre en place, avec cent cinquante ans d'avance, les principes de la description
moderne&#160;: l'étude des langues en synchronie, l'étude descriptive et non prescriptive, l'importance du corpus et des informateurs ainsi que l'importance de catégories grammaticales décrivant précisément les phénomènes propres à la langue étudiée, ce qui le conduit à rejeter la pertinence des catégories de la grammaire
pour une langue comme le . Plus tard (), il tente de repenser dans toute sa généralité la grammaire universelle.
De ses travaux, il est principalement retenu sa , qui est notamment mise en avant par
dans sa philosophie des formes symboliques, mais aussi, plus généralement et plus vaguement, ce que l'on a appelé l'hypothèse humboldtienne, qui rejoint l', laquelle veut que les catégories de la langue parlée prédéterminent nos catégories de pensée. Chaque langue renfermerait une vision du monde irréductible.
C'est là négliger l'intérêt d'Humboldt pour la dimension universelle du langage . Ce n'est que dans la langue que la pensée peut prendre conscience d'elle-même, passer du mouvement informe aux catégories définies. La phrase constitue une synthèse de la sensibilité et de la catégorie de pensée. Le mot confère à la pensée l'objectivité, sans pourtant se séparer des forces de la subjectivité, puisque le mot n'existe que dans la mesure où il est compris. Autrui en répétant mes paroles leur confère une objectivité accrue. Le circuit qui conduit de la phonation à l'audition doit être rapproché de cette dialectique constituée par l'objectivation de la pensée dans l'expression et par la reprise de l'énoncé dans la subjectivité (Introduction à l'oeuvre sur le ).
met également souvent l'accent sur sa typologie des langues. Pour autant, Humboldt n'a jamais perdu de vue la recherche des universaux de langage. Il se sert de la catégorisation en
(, , , , ),
(, , , ), langues incorporantes () et
(). ? propos du chinois, après avoir défendu la thèse qu'il s'agissait d'une langue sans formalité propre, il fut amené par le sinologue fran?ais
à réviser sa position.
Le concept de forme de la langue n'en correspond pas moins à un effort pour penser la langue comme une réalité autonome, par-delà la multiplicité des formes lexicales et grammaticales. La langue n'est donc pas que le reflet de la psychologie nationale, encore moins un arsenal de formes dont se serviraient les locuteurs. Il faut lui reconna?tre un style et une créativité propres, d'où les notions, souvent mal comprises, de caractère, ou encore de forme interne de la langue. (Référence: H. Dilberman, <>, in , n°2, 2006.)
La réception de Humboldt s'avère encore difficile. Trabant et Thouard ont contribué à dissiper une confusion entre Weltanschauung et Weltansicht en fran?ais. C'est ce dernier concept qui est fondamental pour Humboldt. Le premier est associé à une idéologie, et le deuxième désigne la vision du monde ancrée dans la langue. On observe la même confusion en anglais. C'est pour cette raison qu'Underhill propose de faire une distinction entre cinq formes de worldview: world-perceiving, world-conceiving, cultural mindset, personal world & perspective. En anglais l'absence d'une distinction nette, et une absence de recherche sur le discours dans les études multilingues, limitent quelque peu l'envergure du projet ethnolinguistique de Humboldt. C'est peut-être pour cette raison que Humboldt ne figure pas parmi les influences sur la linguistic anthropology'. Anna Wierzbicka et Underhill (2011 & 2012) oeuvrent en anglais pour promouvoir un projet plus proche de celui de Humboldt dans la linguistique dans les pays anglophones.
En , il baptise la famille des , étendue à l', <> dans ?ber die Kawi-Sprache auf der Insel Java (-39, publication posthume). Le
est une langue littéraire ancienne parlée à . Cette oeuvre est désormais considérée comme exemplaire en matière linguistique .
C'est son frère, , qui publia notamment son oeuvre posthume, Sur la diversité de construction des langues et leur influence sur le développement de la pensée humaine, connue encore sous le titre de Introduction à l'oeuvre sur le .
l'a traduite en fran?ais.
Dès le XIXe&#160;siècle, le philosophe fran?ais
avait apprécié l'oeuvre des frères Humboldt, qu'il cite. On peut en particulier rapprocher sa théorie du hasard comme rencontre de plusieurs séries causales indépendantes, d'un fragment du jeune Humboldt rédigé en 1791, Sur les lois du développement des forces humaines, où Humboldt comparait les futures sciences humaines au modèle physique de la causalité. Il est vrai que Cournot ne pouvait avoir connaissance de ce brouillon, inédit à l'époque. De même, l'idée que l'ordre historique existe, mais n'est pas déterministe, qu'il tient le milieu entre les séries aléatoires et les lois physiques, qu'il exprime des effets de structure, fonction d'un vitalisme qui dépasse la raison individuelle, peut être rapprochée de la philosophie du jeune Humboldt, de ses nombreux travaux sur l'histoire et l'historiographie.
Dans le monde germanique, ce sont surtout
qui, avant , ont insisté sur le caractère fondamental de la réflexion humboldtienne, moins celle du jeune Humboldt que celle du linguiste. Le psychologue et linguiste
cite lui aussi abondamment Humboldt. Mais chacun de ces auteurs met en lumière des aspects bien différents des conceptions humboldtiennes. Bühler analyse la grammaire profonde des langues en invoquant la notion d'une forme interne qui guide différentiellement l'appréhension des é par exemple, les langues indo-européennes expriment la réalité en partant de l'événement (verbe), puis déterminent cet événement en indiquant qui agit et sur qui ou quoi. Cassirer en a retenu le kantisme, l'idée que la culture exprime des fonctions et des structures qui ne sont pas le produit de l'intellect abstrait, mais de l'imagination symbolique. Heidegger rapproche de sa conception de l'?tre et du Temps la conception humboldtienne d'une activité qui surplombe le temps et s'y exprime de manière intempestive. Enfin Habermas apprécie dans la linguistique de Humboldt moins son pré-structuralisme que son herméneutique dialogique, inséparable de l'éthique de la Bildung.
En Union soviétique,
(1927) a voulu purifier la philosophie humboldtienne du langage de sa dimension métaphysique. La pensée se fait à même l'expression, la subjectivité est en soi symbolique et sociale, c'est une poétique. Il y a une parenté profonde entre la poétique et la genèse du langage. Ainsi, le poème qui chante la locomotive siffle et halète comme une locomotive. En fin de compte, la forme interne qui travaille la langue est intermédiaire entre la forme logique et la forme de l'objet lui-même. C'est une force lourde de sens possibles, une force inexponible, mais qui donne naissance à la forme, toujours expressive et poétique. Cela se voit mieux dans la genèse du mot que dans celle de la syntaxe.
De son c?té, le linguiste américain
a privilégié le rationalisme de Humboldt, et a retenu que toute langue exprime dans des structures grammaticales en apparence différentes le même entendement universel, ce qui ferait de Humboldt un linguiste… cartésien. Il a en revanche, comme Cassirer, rejeté la dimension romantique de sa pensée.
s'en était également inspiré, au XIXe&#160;siècle, comme moteur de son ouvrage , où il montre l'importance du principe de Von Humboldt, <>, et les conditions de sa réalisation. Mill, prenant du recul face à l'utilitarisme, se prononce alors en faveur de la pensée politique d'Humboldt, pour une éducation politique de tous afin de préserver la liberté de l'individu face à l'?tat.
Humboldt fait aujourd'hui l'objet d'une redécouverte et d'une réévaluation de ses travaux de linguistique prolifiques et novateurs.
En France, Humboldt reste pourtant méconnu, malgré deux thèses monumentales, celles du germaniste
(Guillaume de Humboldt, la Formation de sa pensée jusqu'en 1794, 1932) et du philosophe
(L'Anthropologie philosophique de G. de Humboldt, 1991). Plus récemment, Henri Dilberman lui a consacré également une thèse de philosophie, L'Interprétation métaphysique et anthropologique du langage dans l'oeuvre de W. von Humboldt.
Citons aussi les importants travaux du linguiste et poète , qui se veut au plus près de la pensée authentique de Humboldt, de son mouvement propre, étranger à la philosophie universitaire.
En 2006, le célèbre commentateur de Kant, , lui a consacré un essai, Humboldt à l'aube de la linguistique. Il y montre toute l'importance de Humboldt comme précurseur en linguistique et dans quelques autres sciences humaines. Philonenko, un peu comme Jean Quillien avant lui, se présente dans cet ouvrage comme le premier philosophe contemporain fran?ais qui a su redécouvrir Humboldt et le situer à sa place exacte dans l'histoire des idées. Comme Dilberman avant lui, il est sensible aux analogies entre la pensée de Humboldt et celle de . Mais c'est pour souligner la supériorité philosophique du philosophe fran?ais. On peut regretter que Philonenko ait un peu trop tendance à souligner, comme avant lui Hegel ou Heidegger, les limites philosophiques de Humboldt, au lieu de montrer quels furent ses apports conceptuels et ses principales intuitions. Pierre Bange en 2014 suit une voie exactement inverse: il insiste sur l'incroyable richesse de la pensée de Humboldt, dont la méthode serait déjà celle de la pensée complexe chère à Edgar Morin, qui fait précéder la partie par le tout. (par exemple page 16 de son livre La philosophie du langage de Wilhelm von Humboldt.) Tout se passe en fait comme si, périodiquement, les philosophes, comme les linguistes, croyaient redécouvrir Humboldt, et lire dans son oeuvre les prémices obscures de leur propres conceptions ou de leurs propres options philosophiques ou linguistiques. C'est que la pensée d'Humboldt, rarement saisie dans son originalité, constitue une réserve de sens pour la philosophie de l'avenir. <>, a pu dire . On a rapproché ainsi le concept humboldtien de <> du structuralisme, sa vision dynamique du langage de la linguistique de la parole, le r?le qu'il attribue au dialogue entre les individus et les cultures de l' contemporaine (). Ces évaluations sont souvent contradictoires, ce qui traduit moins l'obscurité de la pensée de Humboldt que sa richesse. Comme l'a montré le philosophe , il est nécessaire aujourd'hui de replacer les découvertes de von Humboldt à l'intérieur de sa propre anthropologie philosophique, de son refus d'opposer l'individu et le collectif, mais aussi de dissoudre l'individu, ou la parole, dans la totalité d'une Nation ou d'une langue.
Du c?té des linguistes, les Presses universitaires de Nancy ont publié un numéro de la revue Verbum entièrement consacré à Humboldt. Les auteurs y proposent une vision très exacte, au plus près des sources, de l'apport de Humboldt. , éditrice de ce numéro, a publié en 2008 La Vision du monde de Wilhelm von Humboldt. Histoire d'un concept linguistique. Les commentateurs de Humboldt ne s'étaient guère rendu compte avant elle que c'est Humboldt qui a inventé l'expression de vision du monde, <<&#160;Weltansicht&#160;>>, promise à un si bel avenir.
Sokrates und Platon über die Gottheit ()
?ber die Gesetze der Entwicklung der menschlichen Kr?fte (fragment, 1791)
(Essai sur les limites de l'action de l'?tat) (1791) Ce texte, peut-être le plus célèbre de Humboldt, est devenu un classique du
politique.
?ber den Geschlechtsunterschied (1794)
?ber m?nnliche und weibliche Form (1795)
Plan einer vergleichenden Anthropologie (1797)
Das achtzehnte Jahrhundert (1797)
?sthetische Versuche I. - ?ber Goethe's Hermann und Dorothea (1799)
Latium und Hellas (1806)
Geschichte des Verfalls und Untergangs der griechischen Freistaaten ()
Pindars "Olympische Oden" (traduit du grec ancien) (1816)
Aischylos' "Agamemnon" (traduit du grec) (1816)
?ber das vergleichende Sprachstudium in Beziehung auf die verschiedenen Epochen der Sprachentwicklung (1820)
?ber die Aufgabe des Geschichtsschreibers (1821)
?ber die Entstehung der grammatischen Formen und ihren Einfluss auf die Ideenentwicklung (1822)
?ber die Buchstabenschrift und ihren Zusammenhang mit dem Sprachbau (1824)
(1826), première traduction en allemand
?ber den Dualis (1827)
?ber die Sprache der Südseeinseln (1828)
?ber Schiller und den Gang seiner Geistesentwicklung (1830)
Rezension von Goethes Zweitem r?mischem Aufenthalt (1830)
?ber die Verschiedenheit des menschlichen Sprachbaus und seinen Einfluss auf die geistige Entwicklung des Menschengeschlechts (1836) (Traduit en fran?ais par Pierre Caussat sous le titre Introduction à l'oeuvre sur le ).
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En possession de la famille Humboldt depuis la fin du , le
(Humboldt Schl?sschen), où il est mort, est toujours habité par ses descendants.
Sur les autres projets Wikimedia&#160;:
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GS. I p.&#160;283 . Gesammelte Schriften (c'est-à-dire: ?crits collectés): Ausgabe Der Preussichen Akademie Der Wissenschaften, Berlin 1903-36
GS. VII, p.33
GS. XIV p.&#160;155
GS.I p.&#160;284
GS. II p. 117
Voir sur ce point le mémoire de W. von Humboldt: <>.
Graphie allemande de langue kavi.
On trouve notamment des publications en allemand sur Humboldt à l'adresse suivante&#160;:
ainsi que les travaux de , notamment son édition de L'introduction à l'oeuvre sur le .
Septentrion, ;; ANRT, 2002, 2 vol. (&#160;)
Les Belles Lettres (&#160;)).
Tome XXVI, n° 1-2, 2005. <>, ouvrage coordonné par .
: Catégories cachées :}

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